C'est ceux qui nous aiment et que l'on aime, même si de reconnaître la joie est difficile et que l'on verse des larmes permanentes, qui nous apprennent et nous offrent le véritable sens du verbe aimer. Je ne dis pas ça comme ça en l'air ou pour faire bien, je le dis parce que je suis handicapée de naissance et que je vis ce que je dis de l'intérieur, parce qu'en plus, je sais ce que la douleur d'une maman signifie, la mienne souffrant toujours d'avoir une enfant handicapée; alors petite maman, avec Véronique moi aussi, je t'aime Marie-Joëlle |
J'ai vu votre site, c'est un bouquet d'amour et de douleur. Je sais que ce bouquet est immortel.
C'est bien de dire votre souffrance, je trouve que c'est juste de le faire. Il doit être bien difficile d'exprimer l'infini, car votre souffrance est infinie.
Je vous adresse toute ma sympathie.
Bernard Vulcain. |
Nicole, Véro, encore un nouveau jour, toi Nicole à passer sans Véro, et toi Véro, de là haut, tu nous manques. Oui, encore et encore un jour, nous ne les comptons pas, non, la terre tourne, mais sans nous, nous restons fixées dans nos souffrances, la terre tourne Véro, tournes tu avec elle, surveilles tu bien les petits anges ? Véro, c’est du travail, mais je compte sur toi, ta maman compte sur toi pour l’aider également, et si parfois, tu en as assez Véro de lire ces petits mots, saches que tu en recevras quand même car je ne peux pas t’oublier comme ça. Nicole, je suis là, ne l’oublie pas, même si tu es bien entourée, moi, j’ai confié une tache importante à ta grande fille, et je t’assure que pas un petit matin ne passe sans je que vienne la voir. Aujourd’hui, un A mi va venir faire ta connaissance, j’espère qu’il t’aimera autant que nous t’aimons, autant que je t’aime. Bisous ma jolie, bisous à toi Nicole. Kelly (et puis, plus de note, pour quoi faire ? Véro n’en n’a pas besoin) |
je tenais à vous remercier de votre message sur notre livre d'or et nous sommes heureuses si vous avez pû trouver sur notre site ,des images que Véronique aurait aimées.
j'ai lu avec émotion l'horrible assassinat , je compatis bien sincèrement à votre douleur , ayant failli perdre ma fille, née en décembre 1974 , il y a un an suite à une rupture d'anévrisme ,j'imagine quelle douleur est la vôtre pour une disparition aussi brutale qu'injuste .
je vous ai fait cette minuscule petite chose en espérant que nounouche le verra .
cordialement ,
soize
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